2010 janvier | Mes-idées

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Mes créations et points de vue

Ookami Kakushi

Bon, je vais tout de suite vous mettre dans le bain : c’est une adaptation d’un jeu psp sorti en août 2009, l’anime a débuté ce mois (en janvier, donc), et l’auteur n’est autre que… Ryukishi. Vous connaissez pas ? Expansion07 peut être ? Mais siiiiii, l’auteur d’Higurashi et d’Umineko, voilà !!

Vous avez terminé en intégralité Higurashi ? Vous venez de finir la première saison d’Umineko ? Vous en voulez encore ? Ben voilà Ookami Kakushi.

Je dis ça, mais finalement, je ne sais rien de cet anime. Je ne sais absolument pas si il y’aura une énigme à défaire. Enfin, avant de voir, puisque depuis, j’ai vu 2 épisodes. Car j’avoue, je n’avais jamais entendu parler de cet anime, c’est lorsque j’ai pris les derniers épisodes d’Umineko que j’ai vu que la même team avait sorti en même temps cette nouvelle série ; j’ai aussi appris que Ookami = loup (ça, depuis Spice wolf, on le sait :p), kakushi = tanière/cachette, et que les deux mots réunis disent plutôt un truc du genre “emporté par les loups”.

Bref.
Je vous conte l’histoire :
Hiroshi Juzumi est le héros de l’histoire. L’anime commence avec une prise de bec assez étrange avec une fille qui dit l’aimer mais qui a plus envie de lui faire du mal. Ce prélude passé, l’opening démarre. Oh ! Du FictionJunction, cela faisait longtemps (depuis Madlax). La musique est sympathique, mais n’a pas la force de l’opening d’Higurashi ou d’Umineko. Peut être après plusieurs écoutes éventuellement, on verra.
Donc là, l’anime commence véritablement. On y retrouve Hiroshi avec sa petite soeur, Mana, et son père, en plein voyage. Ils se dirigent vers leur nouvel appartement et viennent emménager (oh, ça ne vous rappelle rien ?).

Ookami Kakushi

Les voici donc arrivés dans une ville moyenne, où ils vont habiter dans un immeuble. A peine arrivé que voilà que débarque Isuzu Tsumahana.

Ookami Kakushi

Et niveau accueil, voilà qui est bien étrange puisqu’elle lui saute littéralement dessus. Une fois installés et tout et tout, Hiroshi et Mana commencent l’école, comme les autres puisque cette fois-ci, ils sont arrivés avant que l’école ne reprenne.
Là aussi, on nage dans l’étrange, puisque, bien qu’Hiroshi fait vraiment TRÈS normal (un mec un peu lent avec des lunettes)

Ookami Kakushi

toute la classe l’accueil chaleureusement et mieux encore, puisque tout le monde est attiré par lui. Euh o_O

Ookami Kakushi

Il va notamment plus se lier d’amitié avec Asagiri, qui va lui révéler un peu plus tard qu’elle aussi a été transférée récemment.

Ookami Kakushi

Et dans la classe, alors que tout le monde l’adule (même le prof !), une seule fille, que tout le monde semble craindre, va lui dire qu’elle ne l’aime pas : Nemuru Kushinada.

Ookami Kakushi

Mais les mystères ne s’arrêtent pas la. Rassurez vous, je ne vais en rien spoiler puisque je n’ai vu que deux épisodes et que beaucoup de mystères sont posés dès le premier épisode.
Ainsi, en plus de l’ambiance étrange de la classe, on a bien évidemment Isuzu qui semble être tombée amoureuse au moment d’avoir vu Hiroshi, mais il y’a d’autres petits soucis… Par exemple, une légende sur les loups de Jinzo… Et le festival qui aura bientôt lieu en leur honneur… Et la vieille ville qui a l’air complètement opposée à la nouvelle… Et bien évidemment, en début d’anime et à la fin, la mystérieuse “chasse”…

Ookami Kakushi

Bref, vous l’aurez remarqué, cette série ressemble beaucoup plus à du Higurashi qu’à Umineko.
Beaucoup de traits similaires : l’emménagement, la cérémonie, les cigales (elles vous manquaient ? :p), le mystère à peine dévoilé…

Je ne sais pas si la sauce va prendre, mais en tout cas, ça commence assez bien et ça donne envie d’en savoir plus. La seule chose que je peux en dire, c’est qu’on dirait que les habitants sont les loups finalement, mais, si mystère il y’a bien ; car, comme indiqué au début, je ne sais pas si il faut deviner la fin ; je doute que ce soit si évident.
De plus, contrairement à Higurashi, nous ne sommes pas restreint à un village ni à une petite classe puisque la classe est normale, dans le sens où il y’a plus d’une dizaines d’élèves, tous du même âge qu’Hiroshi.
Sans oublier les interactions qui semblent être beaucoup plus nombreuses : par exemple, dans Higurashi, bien que Keiichi avait des parents, on ne les voyait jamais… Là, il n’y a que le père, certes, mais son statut d’écrivain fait qu’il est souvent à la maison.

Ookami Kakushi

Au niveau technique, rien de bien transcendant, il y’a quelques scènes 3d (lorsque Mana bouge avec sa chaise roulante en fait), mais c’est assez mal intégré et mal fait, pour le reste, rien qui ne t’éblouisse.

Et au final, on va voir sur la suite pour voir ce que ça va donner, pour le moment je vais émettre un avis neutre, parce que bien des éléments sont intriguant mais rien ne m’a vraiment accroché ; à l’inverse, ce n’est pas comme si je m’étais ennuyé à voir ces 2 épisodes, je ne le trouve pas mauvais.

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Car oui, il faut le dire : Umineko est moins bien qu’Higurashi. Mais pourquoi ? C’est d’autant plus étonnant puisque les auteurs sont les mêmes, et que, logiquement, ils devraient être beaucoup plus rodés sur l’intrigue.

Mais pour commencer, il faut mentionner les points où Umineko est supérieur à Higurashi.
Le premier point, le plus flagrant, c’est, forcément, le graphisme. Enfin on a droit à des personnages dignes de ce nom, qui font plus “vrai” qu’Higurashi. Après, l’on pourra critiquer le choix des costumes, qui va de pire en pis il faut bien l’admettre, mais ça reste “classieux”. A peu près.

Lucifer

Le second point, c’est qu’Umineko va beaucoup plus loin qu’Higurashi, à certains points de vue : de 4 suspectes, on passe à 18. Là, on ne peut pas dire qu’ils ont fait dans la demi-mesure, et tant mieux.

Passons aux points équivalents… Comment ça, vous attendiez d’autres points supérieurs à Higurashi ? Désolé, je n’en ai pas d’autres sous la main… Les points équivalents, ou plutôt, LE point équivalent, c’est… *roulements de tambours* les musiques ! Oui, bien que d’une ambiance totalement différente, que ce soit pour Umineko ou Higurashi, les musiques sont sublimes et collent parfaitement à chaque ambiance.
Higurashi a mis dans le mille pour chacune des saisons, Umineko, que ce soit l’opening ou l’ending, tape aussi dans le mille, ambiance retranscrite garantie.

Bien, passons au gros de l’article, c’est à dire, le pourquoi qu’Umineko est moins bien qu’Higurashi, et je rajoute “en anime”. Car il se peut que le Visual novel soit meilleur qu’Higurashi, ou équivalent niveau qualité, mais je ne peux en aucun cas comparer le Visual novel, puisque, de un, je n’ai lu que 2 chapitres pour Higurashi (disponible à la vente en français je rappelle), et de deux, je n’ai pas lu une seule ligne d’Umineko.
Ceci dit, j’ai eu quelques échos comme quoi le Visual novel est beaucoup plus profond.

On en arrive au problème principal. Higurashi (vous m’excuserez par ailleurs de ne pas mettre à chaque fois le titre en entier) fut la copie conforme du Visual novel -ou presque. Umineko saute apparemment pas mal d’étapes, ce qui lui vaut une histoire moins creusée. Un comble, quand on sait qu’il y’a 4 fois plus de suspects potentiels.
Seulement, alors qu’Higurashi se basait sur un arc, une histoire centrée sur un personnage, ici, impossible à refaire, ou alors il aurait fallu plus de 40 épisodes rien que pour la saison 1.
Et on en arrive directement au second problème, à savoir, et c’est logique, des personnages beaucoup moins fouillés en profondeur qu’Higurashi. Ben oui, on a pas le temps de s’attacher vraiment. A part à Maria, qui énerve plus qu’autre chose au début ou à Battler, qui m’énerve aussi avec son côté je sais tout, et qui finalement ne creuse vraiment pas beaucoup, le reste des personnages n’est que survolés.

Le dernier gros problème d’Umineko, ce sont les parts de mystère et d’horreur, totalement absents, qui manquent cruellement à la série.
Par rapport à Higurashi, car, c’est normal, on a tendance à comparer à Higurashi, le mystère est absent. Pourquoi ? Car dans Higurashi, on ne sait rien, au départ. Le mystère y est dilué, avec, au début, 2-3 infos sur Yashiro-sama, mais rien de plus. A aucun moment, on ne sait si cette légende est vraie ou non. A aucun moment, on ne voit Yashiro-sama. Et, comble du mystère, personne ne sait, pas même les personnages.
Umineko, dès le premier épisode, on nous apprend l’existence de Béatrice, et très rapidement, tout le monde va se rallier à sa croyance. Pire : elle va apparaître. Et on va nous balancer moults effets magiques, discréditant tout aspect réel et sérieux de la série.
Le seul rempart, à ce moment, c’est Battler. Mais là aussi, il y’a un souci : il s’oppose à la croyance uniquement pour s’opposer. Il n’a absolument rien avec lui, pas d’indice, pas de preuve, rien.

Vous allez me dire, à ce moment “oui mais les preuves, c’est toi qui doit les chercher”. Certes. Le concept est le même qu’Higurashi finalement, mais franchement, alors qu’Higurashi faisait dans le réaliste tout le long, Umineko tombe rapidement dans le grotesque. Et personnellement, ça ne me donne pas du tout envie de chercher. En fait, je me suis creusé les méninges, mais qu’au premier arc. Après, plus envie. Actuellement, que je sache ou non la fin ne me dérange absolument pas. Je la regarderais certainement, mais en aucun cas je la regarderais avec passion.
Non, parce qu’entre les illusions, les personnages apparues d’on ne sait où, les armes magiques, les chambres closes, les serviteurs, les bunny girls (fallait oser), les sorcières et j’en passe, rien de tout cela ne me semble vraiment réel.

Car dans Umineko, dès le second épisode, on te le dit, on te l’assure même : les sorcières et la magie existent !! Et on te le rabâche tout le temps, ce qui, personnellement, ne me donne pas envie de prouver le contraire. Dans Higurashi, on voulait connaître le fin mot de l’histoire, le pourquoi du comment, car ça impliquait tout un village, toute une région au passé mystérieux. Umineko, c’est une affaire d’une famille riche, 18 clampins, sur une île qui plus est.

Reste alors l’espoir que l’on puisse s’attacher à un personnage, par peur ou par passion. Ben, non. La seule avec qui j’aurais pu m’attacher, c’est Maria (son côté kawaii), seulement, elle tombe rapidement dans le concept “soulante”, à gueuler tout le temps et à croire Béatrice à fond.
Les autres personnages sont de toutes façons anecdotiques. Battler m’énerve, Jessica n’a que peu de personnalité, Georges est fidèle au poste de gars à lunettes (c’est à dire, anodin). Reste les adultes, dont on ne sait que très peu de choses, et les domestiques, Shania, j’aimais plutôt bien jusqu’au fameux épisode où elle rencontre Béatrice et lui fait vÅ“u de pouvoir aimer sans contrainte, la discréditant de beaucoup à mes yeux. Et puis, finalement, elle reste assez plate. Au niveau de la personnalité hein, sa poitrine ne l’étant pas vraiment ;)
Le dernier, Kanon, au début je pensais que c’était une nana. Puis, une fois que je me suis aperçu de mon erreur, j’ai rapidement appris à le détester cordialement, il ne sert absolument à rien, et sa fâcheuse habitude de se traiter de meubles ne donne finalement qu’une seule envie : de l’encastrer dans un meuble, justement.
Mentionnons aussi le fait que dans Higurashi, beaucoup des personnages avaient des tics verbaux : Rena, à répéter la fin de phrase, Rika, ses Nipaah, Satoko, ses Nii Nii, etc. Cela renforçait le côté mignon des personnages et leur charisme, et, globalement, dans n’importe quel anime, c’est le cas.
Mais il y’a des exceptions. Ainsi, Umineko n’a plus qu’un personnage qui a un tic verbal : Maria. Et elle le fait tellement souvent qu’il énerve plus qu’autre chose.
Cela dit, je ne vais pas trop insister sur ce point, à l’origine, les tics verbaux (notamment les “desu”) sont couramment utilisés par les enfants ; Umineko n’a qu’un seul enfant, c’est donc dans la logique des choses qu’on a pas énormément de tics verbaux, mais c’est c’est un peu dommage.
Bref, beaucoup de personnages, mais aucun, à mes yeux, qui n’atteint n’importe quel personnage d’Higurashi.

Et le côté horreur ? Disparu. A pu. Pfiouuuu~
Le côté horreur, il y’en a deux en réalité, en général : l’horreur pur, avec par exemple une défenestration, avec morceaux de cervelles qui giclent, par exemple, et l’horreur d’ambiance, avec par exemple des monstres cachés dans la brume, pensez à Silent Hill ou Alien.
Higurashi, ça mixait un peu les deux : l’horreur d’ambiance, avec des scènes extrêmement froides, là, le meilleur exemple reste Rena et son fameux “USO DA” :

mais aussi l’horreur pure et dure, avec des scènes de tortures assez dures.
Umineko, l’horreur d’ambiance, il va falloir rapidement l’oublier, puisque les scènes de “pétage de plomb” lorgnent plus du côté grotesque. Reste l’horreur pure ? Bip biiiiiip ! Bien qu’il y’ait des scènes crues, elles sont… Censurées. Gloups. Pas que je sois adepte de la chair et du sang, pas du tout, mais pour l’ambiance générale de la série, c’est totalement absurde de censurer ce genre de passage.
Et finalement, il ne reste pas grand chose à l’horreur.
Et même, finalement, il ne reste pas grand chose à la série. L’envie de savoir si la magie existe ? Même pas, puisque, logiquement, elle n’existe pas, et si elle existerait bien, dans l’anime, l’anime en lui même n’a plus de fondement. Savoir qui est le coupable ? Et comment tout ça est possible ?
Oui, ne reste que ces 2 questions, mais dont je n’ai pas spécialement envie de connaître les réponses ^^

Bref, Umineko, globalement, m’a déçu. Peut être que lors des réponses, je serais bluffé, c’est probable, mais il n’en reste pas moins que l’univers d’Umineko ne m’intéresse pas autant que celui d’Higurashi. L’univers, les personnages, les mystères. C’est pourquoi je préfère me souvenir du studio 7th, la fabuleuse sage qu’est Higurashi et mettre de côté Umineko, même si, pour le moment, Umineko n’est pas encore fini.

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Je l’annonce ici puisqu’il n’y a pas beaucoup de visiteurs.

Car oui, parlons plutôt de pré-ouverture : bien que le site soit entièrement fonctionnel, j’aimerais connaître l’avis des gens pour savoir si il y’a moyen d’améliorer le concept.
Toujours est-il que pour le moment, le site dans son intégralité est gratuit : profitez en.

Je suis en train de réaliser la FAQ ainsi qu’une vidéo de démonstration.

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Guin est un nom d’un personnage. Le mot peut prêter à confusion, mais ça n’a rien à voir avec le mot en français (qui ne s’écrit même pas de la même manière, oh le lourd).

Guin saga est un anime de 26 épisodes sorti début 2009 par les groupes Tenro Production ; Micott & Basara ainsi que le Group Tac.
Adaptation d’un manga ? Non. Et c’est là que ça devient intéressant. Pour ma part, je ne l’ai su qu’à la fin. Mais Guin saga est issu d’une série de nouvelles, qui a débuté…. En 1979. Oui, gloups. Il y’avait prévu 100 volumes à la base, l’auteur, Kaoru Kurimoto est arrivé au tome… 126. Je ne saurais dire si le dernier tome conclut la série, j’en doute un peu, l’auteur ayant décédée en 2009.
Pour la petite histoire, au Japon, cette saga est à un niveau extrême, puisqu’elle a passionné durant 30 ans des millions de lecteurs. Par ailleurs, l’auteur de Berserk Kentaro Miura, a même révélé que Guin saga était une source d’inspiration importante pour son manga.
Du gros quoi. Mais ça, ça ne concerne que les nouvelles. Que vaut l’anime ?

Vous l’aurez deviné, il reprend le début de la saga. Encore heureux dans un sens.
L’histoire : le royaume de Parro. Un royaume paisible. Un soir, une attaque surprise est déclenchée de la part d’un empire grandissant : les Mongauls. Le royaume est rapidement envahi, la reine et le roi sont tués, et seul leurs 2 enfants, des jumeaux, Rinda et Remus, en réchappent, grâce à l’aide d’une mystérieuse machine.
Mais au lieu de les envoyer chez leur tante, ils atterrissent dans une forêt hostile en plein territoire Mongaul. C’est lorsqu’ils se retrouvent acculés par l’armée Mongaul qu’ils tombent par hasard sur une sorte d’homme à tête de léopard, qui semble se réveiller. Et, une fois réveillé, il révèle bien vite une force surhumaine.
On apprendra peu après qu’il ne se souvient que d’un mot, “Aura”. Il va donc, pour commencer, se mettre à protéger les jumeaux, en quête de son identité.

Bon, je ne vais pas tourner autour du pot très très longtemps : l’anime n’est pas l’anime de l’année 2009. Mais il n’est pas mauvais pour autant.
Pour commencer, il y’a quelques problèmes techniques, notamment d’animation quelques fois, et les musiques sont tout à fait oubliables. Ensuite, le plus gros problème reste l’histoire en elle même, qui ne fait en rien originale. Un homme masquée, amnésique, un royaume en danger, un autre envahissant, puis le héros surpuissant et ratifiant les foules, ce n’est en rien original.

Mais il ne faut pas s’arrêter là. Car les personnages sont bien travaillés et charismatiques.
De plus, même si le nombre des personnages augmente rapidement, on s’en sort relativement bien, point de personnages qui se ressemblent.
Ensuite, même si l’histoire est peu originale au fond, dans la forme, on est rapidement attiré et l’on veut en savoir plus, suivant l’intégralité des épisodes avec plaisir.
Mais vous l’aurez deviné, on a pas de réponse. Comment retranscrire 126 volumes en une saison de 26 épisodes ? Ce n’est pas possible, tout simplement (enfin si, mais ce serait incompréhensible).
Et donc, Guin Saga finit en ayant un peu avancé, mais nous laissant clairement sur notre faim. Y’aura t-il d’autres saisons ? Si oui, vont-ils adapter l’intégralité des 126 volumes ?
Je ne sais pas, personnellement, même si je peux imaginer qu’il y’ait une ou deux autre saison(s), je ne pense pas qu’ils adaptent l’intégralité de la saga ; enfin, on verra bien.

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